Projet mené par la compagnie marseillaise “Rara Woulib“, qui intervient dans des projets participatifs de “Passerelles”, le servie d’action culturelle du Festival d’Aix, depuis 2016.
BANJO questionnera ce qui fait Marseille et son identité aujourd’hui : qu’est-ce qui nous rattache à Marseille ? En quoi est-on marseillais.e ? En quoi nos racines sont-elles beaucoup plus anciennes que ce que tend à me faire croire la présentation provençale ?
FAIRE GROUPE, au-delà de nos différences et origines !
Des ateliers de chant, danse et théâtre seront mis en place avec les stagiaires de l’École de la 2e Chance de Marseille pour chercher un répertoire commun nourri de patrimoine musical et chorégraphique des participant.e.s.
Ces ateliers permettront d’élaborer enssemble des protocoles de transmission où chaque participant.e qui le souhaite pourra prendre place, tour à tour, de transmettre de son patrimoine de chant ou de danse aux autres membres du groupe, avec l’aide des encadrants artisitiques.
Ce travail artistique et cette recherche commune donneront lieu à plusieurs restitutions publique au premier semestre 2021, qui raconteront Marseille à l’instant T, en cherchant comment aller puiser dans les traditions et les rendre actuelles à l’aide d’une instrumentation moderne, ou en mêlant danse traditionnelles et actuelles avec un chorégraphe.
L’équipe :
Alex Satger : collectage chant, arrangements, composition, direction du chœur.
Aurélien Desclozeaux : chorégraphie, catalyseur d’énergie positive.
Cyril Fayard, aka DJ Cryl : instrumentation (machines, DJ) enregistrement, composition.
Julien Marchaisseau : Mise en scène.
Bruno : “C’était une bonne expérience avec le groupe Banjo. Même sans savoir danser, je me suis beaucoup amusé avec mes collègues. Les gens qui nous apprennent sont tous sympas. J’ai chanté en portugais pour tout le monde et c’était vraiment bien. On a eu la chance de mettre notre musique aussi pour s’amuser entre nous et on a fait la fête. J’attends avec impatience la prochaine fois.“
Chaima : “Bonjour, le 03/02 on a rencontré le groupe de Banjo. Il y avait des gens sympas qui nous ont parlé de la musique africaine et l’objectif de créer ce groupe. Mais ce que j’ai aimé le plus c’est quand on a dansé. J’ai ressenti que j’avais éliminé toute l’énergie négative et oublié un peu la pression qui concerne la crise sanitaire. Le charme de la fin c’est que chacun d’entre nous a choisi une chanson de son pays. Quand j’ai écouté notre chanson ça m’a rappelé mon pays et ça me fais vraiment plaisir.“
Imen : “Hier est venu le groupe de Banjo. Chacun a présenté son rôle et son travail dans le groupe. Ils ont été très gentils et dynamiques. Ensuite on a chanté et aussi effectué des mouvements de danse. Au début, j’étais un peu timide mais après c’était trop bien. A la fin chacun a mis une musique de son pays et on a dansé. Il y en a aussi qui ont chantés leur propre chanson, Vraiment j’ai passé une magnifique après-midi. On s’est régalé je me sentais vidée et soulagée de tout mon stress.“
